Vive le vrac / suite et fin

En 2017-2018, environ 10 ans après mon projet de diplôme sur des emballages réutilisables pour encourager les achats en vrac, ça ne semble plus forcément nécessaire.

Voir de plus en plus d’épiceries de vente en vrac, m’avait fait ressortir mes prototypes de l’époque. Le tube était le plus pratique, et l’optimisation surface/volume moins importante comme l’emballage est réutilisé.

Mais la grosse différence c’est qu’aujourd’hui on peut souvent étiqueter la tare de ses propres contenant en magasin, avec un code barre qui sera lisible par le système informatique en caisse : plus besoin d’un emballage spécifique, plus besoin d’industrialiser cette idée, n’importe quel contenant peut faire l’affaire (ce qui ouvre le potentiel vernaculaire dirait Papanek).
J’ai moi même tendance à ré-utiliser des bocaux en verre finalement 🙂

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