L’achat en vrac gagne du terrain

Du moins j’en ai bien l’impression, par les articles que je lis ou qu’on m’envoie parfois sur le sujet. Ou bien simplement en voyant une boutique ouvrir dans le centre de la petite ville de Montaigu : D-Vrac.

J’y suis passé hier, l’ambiance est chaleureuse, la propriétaire engagée, etc. J’en profite pour lui parler de mon projet d’emballage que j’avais imaginé un jour pour faciliter les achats en vrac. Et je découvre avec joie que la fonction « scan du code barre pour soustraire le poids de l’emballage » est à présent intégrée dans le logiciel de gestion de la caisse : elle peut peser un emballage (standard ou d’un client), l’enregistrer dans sa base de donnée et imprimer une étiquette code barre à coller dessus, parfait.

Ne resterais qu’à ressusciter mon projet d’alors, ce qu’on va d’ailleurs peut-être faire avec le Centre Social de Chemillé et le groupe local « zéro-déchet » : fabriquez vous-même vos emballages réutilisables 😉

Vivelevrac #3

Suite réunion Biocoop.

Deux détails que j’ai apprécié : café sans gobelets, et les même biscuits qu’on peut acheter en vrac en magasin.
ça peut paraître bête, « c’est normal », mais au moins c’est cohérent jusque là
rien ne les obligeait, me rassure que c’est le bon choix.

Autrement, une discussion très intéressante (pas simple l’éco-conception, surtout quand on parle du choix de matière).
Il faudrait pouvoir tester les emballages (les tetraèdres l’emportent encore une fois sur les longs ^^), et donc en fabriquer quelques uns… prochaine étape : retour a Fabimage pour quelques proto.

Objectif : réutilisables 20 fois au moins (mais commencer par trouver un moyen pour qu’ils soient faisables…)

Vivelevrac #2 // Vrac is back (almost)

Aujourd’hui j’ai pu aller voir le fabricant que j’avais trouvé : Fabimage, pour avoir leur avis concernant la faisabilité de mes emballages.

Ce que j’aime bien chez les fabricants c’est qu’il y a toujours plein d’exemples de réalisation un peu partout, dans l’entrée jusque dans la salle de réunion, et c’est toujours très instructif.


Bilan: fail ^^’

Ou du moins pour réaliser les V.R.A.C tel qu’ils sont actuellement il faudrait créer une machine spécifiquement pour, ce qui aurait été faisable (rien n’est impossible) si on avait déjà tout un marché, plein de moyens, etc.
Mieux vaudrait donc adapter le concept que l’inverse (quoique).

Je m’attendais à devoir faire quelques adaptations, mais c’est peut-être l’occasion de tout reprendre en fait.
Le truc c’est que pendant la conception j’avais essayé de trouver comment utiliser le moins de matière possible (sur ce point c’est top), mais au final c’est la fabrication ou plus exactement les soudures qui font grimper le coût.

Il m’avait justement manqué l’avis d’un expert pendant le DSAA (et malheureusement il y a très peu de boites spécialistes du polypro en France).

Redéfinition des critères donc, en essayant à présent de concevoir un assemblage avec une seule soudure, voir pas du tout… hé hé après avoir assimilé ce point il y a déjà quelques idées qui viennent, sur le trajet du retour je me suis rappelé qu’un des premiers prototypes avait permis de tester un système de rabat à languette par exemple.
Je pense qu’il y a moyen de faire un truc sympa tout en étant plus simple à réaliser cette fois (et puis tient faudrait essayer ça et ça… il y a toujours plein de trucs à imaginer !)

Affaire à suivre 😉

Sinon le site avance tout doucement (lien dans les images, section à propos, intégration de la carte des points de vente, les avantages)
Et la traduction en anglais du post concernant le projet, qui devrait faciliter l’explication sur le oueb.