Alors, petit retour en arrière sur les idées de cette année, en voyant dans un premier temps les pistes très concrètes, puis dans une deuxième phase celles qui étaient plus prospectives 🙂
N’ayant pas choisi au départ un secteur précis de l’emballage, j’essayais d’imaginer des solutions chaque fois que je tombais sur un produit dont il me semblait possible d’améliorer l’emballage.
Résultat je me suis retrouvé avec un paquet de recherches…
En vrac ça donne notamment :
- Les cartouches d’imprimante
- Les tablette de chocolat (les milka ou celles que l’on trouve chez Ikéa n’ont qu’une enveloppe de plastique, dont le pli la fait se refermer… pas d’alu et plus pratique)
- Les boites cd (elles sont fines à présent, mais certains modèles sont en plus ajourés)
- Les enveloppes à bulles (pourquoi pas une protection en carton déployé à la place)
- Les boite de punaises et autres petits objets (pas toujours pratique à piocher dedans)
- Un sac à pain en gor-tex (selon si il a tendance à moisir ou à sécher, dans l’idée il suffirait de retourner le sac pour s’adapter)
- Du camembert en portion, sans suremballage (défis technique là pour avoir une seule couche sécable pour tout les morceaux)
- Un beurrier pour ne pas acheter de barquettes de beurre.
- Le calage de boites de biscuits
- Une gourde en alliage verre-plastique
- Une brique refermable sans bouchon (une pièce et donc quelques tonnes en moins si on pouvait revenir aux ancienne briques, mais sans perdre la fonction hermétique des nouvelles)
- Un tabouret en carton (pour réutiliser les grands cartons Ikéa)
- L’emballage d’une lampe en kit (recherches pour une création de LN Boule)
- Un emballage secondaire pour regrouper les canettes (bien qu’il soit dur de faire plus simple que le film PE)
- Un verre allégé+film plastique (contact alimentaire du verre et un plastique à l’extérieur pour la tenue mécanique, en angleterre ils ont fait des verres ainsi mais pour éviter que les gens utilises les verres brisés comme armes dans les bars)
Des pots de yaourt (relancer les modèles en carton), des tupperwares (avec un morceau de véléda pour facilement les identifier) ou encore la boite de certains produits surgelés et j’en passe…
Car même s’il s’agissait d’améliorations ponctuels, il suffit de pouvoir généraliser un détail pour que l’impact devienne plus conséquent.
En fait l’inconvénient d’avoir choisi un thème qui se trouve autant d’actualité c’est que bon nombre des pistes se sont vu réalisée durant l’année, comme vous allez le voir dans les prochains posts, façon un peu fiches de projet.