Aller aujourd’hui c’est origami (pourquoi « mushroom », eh bien tout simplement parce que ça sonne mieux et avec moins de syllabes…). Voila un moment que je voulais publier ce message alors j’en profite ^^
Et si les déchets étaient vivants ? Peut-être en pousserait-il des champignons…
L’idée d’origine provient d’un chercheur en origami, travaillant notamment le pli froissé, et dont les œuvres sont de fascinantes sculptures.
Dans l’origami on peut reconnaître comme deux grande écoles : celle du pli net et celle du pli froissé.
La première et la plus connue nécessite des plis bien propres, effectués avec force précision et minutie. Ce qui a l’avantage de donner des étapes clairement reproductibles.
Tandis que la seconde, parfois méprisé par la première (je brode un peu) profite d’une formidable liberté de mise en œuvre. Cela ne se fait pas sans délicatesse pour autant mais le coté un peu spontané et aléatoire est extrêmement plaisant. En plus du défis de « sculpter » dans le papier sur laquelle on s’est défoulé juste avant.
Pour finir, un clip dans cet esprit « pousse n’importe où » découvert il y a quelques temps (thanks Gneu) :