My 3D scanner

Tient je pensais avoir fait un post sur ça mais non… corrigeons ça !

my3dscanner.com est un des quelques services qu’on trouve sur le net et qui transforme un lot de photos en nuage de points, qu’on peut ensuite nettoyer un peu et convertir en stl pour l’imprimer.
Autrement dit n’importe quel bête appareil photo numérique peut servir de scanner 3D ! (à partir de 2 mega pixel) D’autant plus qu’il est conseillé d’utiliser un objet avec de la texture, de même pour le fond, et sans plateau tournant (de quoi se délecter de ces règles d’imperfection).

Et voilà un parfait exemple des bonnes surprises que peut donner l’open-source ^^

Je met le fichier du nuage de points en ligne http://www.thingiverse.com/thing:8168
Pmarxx le reprend et en fait un stl : http://www.thingiverse.com/thing:8229
Tbuser fini de le corriger et tout le monde peut désormais l’imprimer : http://www.thingiverse.com/thing:8232

Ce que j’ai pu essayer aujourd’hui :

Toute première impression avec skeinforge (version 39, j’ai pas encore modifié mes E-step-mm pour utiliser la 41), et pas si mal. Je crois que je vais l’utiliser plus souvent (ne serait-ce que pour la variation de la vitesse selon ce qu’il réalise, quand repsnapper est constant, plus tout les autres réglages, miam) 🙂

Cacoo // Diagrammes collaboratifs

Aujourd’hui je voudrais juste vous montrer un outil collaboratif (encore un de plus) au cas où vous ne le connaîtriez pas : http://cacoo.com/

En cours on avait pu en voir quelques uns, notamment pour les mindmaps, ou entre élèves pour utiliser les différents outils de googledocs, mais je trouvais celui-ci vraiment pas mal.

Par exemple : https://cacoo.com/diagrams/wKA1saahe1vsKQjW qu’on avait commencé avec Arthur pendant le bootcamp fablab de Nantes.


(Hop j’en profite pour tester l’option d’embed)

On voit ce que les autres éditent en direct, il y a aussi une fenêtre de discussion et pendant la mise en place des différents blocs on est souvent aidé par des repères (un peu comme dans Illustrator depuis CS2).
On peu upgrader son compte mais la version gratuite est déjà largement suffisante à l’échelle d’un petit groupe, qui appréciera peut-être d’autant plus de ne pas être obligé de s’enregistrer pour éditer un diagramme (si l’option de partage le permet)

Voilà voilà 🙂

Repsnapper, Skeinforge, Netfabb et Meshlab

Il y a quelques temps je me suis replongé dans l’environnement des logiciels utilisés avec la reprap.
Car seul progrès possible : changer l’extrudeur (le mois prochain), ajouter un support chauffant (très bientôt), et… le plus gros progrès possible vient des logiciels convertissant les fichiers .stl en Gcode pilotant l’imprimante.

Jusqu’à présent j’utilisais Repsnapper v333, avec la configuration de Camiel G (mendel-parts). Seulement certains .stl ne passaient pas (me suis débrouillé en allant chercher dans les modèles prusa et mendel-v2 ).

Je me suis donc intéressé à Netfabb et Meshlab, deux logiciels notamment utiles pour réparer des fichiers .stl.

La version de base de Netfabb est gratuite, tandis que la version « pro » possèdes des fonctionnalités supplémentaires. Il est néanmoins facile à prendre en main avec les explications du wiki et des modes de réparation automatiques.
http://www.netfabb.com/basic.php
http://wiki.netfabb.com/Main_Page

Meshlab semble être assez puissant, mais je l’ai peu utilisé pour le moment. Par contre il permet en plus de travailler à partir de nuages de points, obtenus en scannant un objet avec un kinect détourné par exemple :p
http://meshlab.sourceforge.net/

Il existe encore beaucoup d’autres logiciels pour piloter la reprap (j’avais aussi essayé ReplicatorG par exemple) mais tous ne fonctionnent pas avec le firmware de la carte Gen6, je ne parlerai donc que de ces deux là.

J’avais déjà essayé de faire fonctionner Skeinforge mais sans succès, chaque fois que je tentais de lui donner un fichier la fenêtre de commande affichait « Could not get the old directory in preferences, so the file picker will be opened in the default directory » et ensuite « Error in execute in file name in preferences, open file for skeinforge, skeinforge preferences have been saved« .

J’ai fini par trouver un conseil sur le forum makerbot (http://wiki.makerbot.com/forum/t-244221) : en fait il faut placer le dossier de skeinforge à la racine du disque. Maintenant qu’il est juste après le C:/ plus de problème, il peut convertir des fichiers en magnifique Gcode. Reste néanmoins à maîtriser la bête (car si il semble être celui qui à le plus d’options et offre le meilleur code c’est loin d’être le plus intuitif)

Puis hier, encouragé d’avoir pu faire marcher skeinforge, j’ai voulu retenter d’utiliser la v352 de Repsnapper, dont j’avais eu l’impression qu’il manquait des onglets et fonctions la première fois. Et c’est la que j’ai découvert que l’onglet « printer settings » était désormais un bouton en bas de « print options », avec même l’option antiooze ! (recul du filament entre deux extrusions pour éviter d’avoir des fils, ce qui avait déjà été pas mal réduits en jouant avec la vitesse de déplacement et la température).
Seul soucis : la thermistor ne donne pas la température… [edit : penser à appuyer sur le bouton « enable » pour ça]


Et puis sinon la dernière beta de Blender peut exporter des .stl, simplement en activant l’option dans les préférences.


Bref, tout ça c’est chouette mais vivement qu’on reçoive une autre bobine de plastique 🙂