Retour de chez l’imprimeur ! (tadadaa)

« Yaataaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! »

Du moins c’est à peu prêt le cri intérieur que j’ai fait en voyant l’impression test du mémoire… Il rend encore mieux que prévu 😀

Finalement depuis que je suis à Jean Perrin (4 ans déjà… fou hein), c’est toujours au même endroit que j’aurai fait imprimer planches et autres affiches.

En tout cas « ça c’est fait » !

Et si ça vous intéresse de lire ce qu’il y a au-delà de la couverture, vous pourrez bientôt le retrouver sur Scribd :]

à venir pour mai et après

En plein bouclage de mémoire… Mais quand j’aurai de nouveau un peu de temps j’en profiterai pour poster :

Un carnet expansible de Brian Ling
Le beurrier en argile
Des emballages à faire pousser dans le jardin
La piste de projet que je développe pour le diplôme
Encore quelques réflexions
Et une petite astuce pour utiliser une brique 🙂

Hop postage d’un ancien brouillon repris dans le mémoire, http://watsdesign.blogspot.com/2009/11/eco-wave-conscious-crisis-design-power.html

Comment casser des noisettes en grande quantité ?

Le problème de la semaine… il aura fallut moins d’une heure pour réaliser la solution.

C’est une question qui se pose rapidement quand on doit faire face à un grand saladier plein de noisette comme au-dessus.

Les outils existant vont bien si vous n’avez que quelques noix à casser, mais ils sont rapidement inadaptés…

Le principal problème : ils mobilisent les deux mains, ce qui complique la tâche (sans même parler des personnes ne pouvant utiliser qu’une main…). De plus on risque souvent de se coincer les doigts du fait qu’il est difficile de doser l’effort.

La solution la plus simple trouve son origine chez les casseuses d’amandes d’autrefois : un galet.
Et puis d’expérience quand on était gamin c’est bien ce qui allait le mieux.

Le choix de la pierre est essentiel. Il faut qu’elle soit bombée pour avoir une bonne prise en main, mais surtout qu’elle ai un léger creux de l’autre coté ce qui évitera à la noisette de glisser au moment de l’impact.
Ici les veines de la pierre sont parfaites pour ça.

Reste à fabriquer un morceau de bois avec une rainure progressive en V pour pouvoir faire autant avec les petites noisettes qu’avec les plus grosses.

Une épaisse planche de noyer (comme c’est un bois très dur et résistant) fera l’affaire. Le morceau est retaillé aux dimensions voulues (20 cm environ) puis creusé avec une scie, une gouge en V et un ciseau à bois.
Un coup de poncage… et voilà :

Une main s’occupe de casser les coques avec la pierre, l’autre enlève les noisettes et il n’y a plus qu’à balayer les éclats d’un revers de la main.

Et au final c’est bien plus efficace et agréable de casser les noisette comme ça, c’est même limite défouloir ^^


[édit. 2011] ce noël j’ai pu tester ce casse-noisette conique « Drosselmeyer », comme toujours il faut contrôler un minimum sa force, mais il est vraiment bien pour des quantités réduites de noix ou noisettes.

[édit. 2016] : ces dernières années mes parents utilisent ce casse-noisette manuel qui est adapté pour du volume, avec simplement une phase de tri après le cassage pour séparer les noisettes des morceaux de coques. Les noisettes sont ensuite torréfiées et moulinées avec cet appareil du même constructeur italien Gimas (et, pour mémoire, un rare distributeur FR).

[édit. 2024] : la tradition perdure, mais on continu de réfléchir au sujet.
J’ai trouvé très maline l’astuce de cette personne de projeter la noisette. Le même principe (avec l’avantage de ne pas avoir de réglage d’écrasement comme dans le modèle de Gimas) pouvant s’utiliser pour un volume important de noisette, vu ce bricolage avec une sorte de turbine imprimée en 3D pour catapulter les noisettes.
Je serais tenté de reproduire ce dernier, mais avec une rotation manuelle (une manivelle, des engrenages, un volant d’inertie, une roue-libre, toussa).