Hot-end failed, hot-end fixed (almost)

Ça faisait depuis longtemps que l’imprimante tournait sans problèmes, mais peu après avoir fini d’imprimer sa 2ème fille…

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J’ai commencé par voir s’échapper un peu de fumée blanche, probablement de la colle qui maintenait la partie chauffante en cuivre dans le cylindre isolant en PTFE, car j’en ai retrouvé des bulles comme on voit sur la photo, et avec ce jeu la tête est ainsi descendu de quelques millimètres, ce qui était assez désastreux pour l’impression en cours…


Je ne sais pas exactement d’où ça vient : /

  • surchauffe ? la température était reglé sur 170°C mais une fois l’impression lancée Repsnapper 352 ne l’actualisait plus (bien que la contrôlant correctement), le kapton également a noirci un peu
  • durée de vie de la colle ? qui aura fini par lâcher après de très nombreux cycle chaud-froid…
  • friction à l’intérieur de la tête ? dont la température n’était peut-être pas stable en ayant lancé l’impression trop tôt, en plus d’une vitesse assez élevée…
  • un bouchon de PLA ? qui peut se former quand le plastique monte trop haut en température, ou au contraire un morceau qui n’aurait pas refondu au lancement.

Peut-être un peu de tout ça.

Sur la voie de la débrouille pour essayer de faire un assemblage sans colle, j’en ai profité pour monter le bloc chauffant en alu, plus simple à assembler que le fil nichrome mais qui me pose des soucis de température pour le moment.

==Interlude==
En attendant de récupérer une pièce pour l’assemblage j’ai essayé de transformer la reprap en CNC

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Ça marche, mais ça restait du contrôle manuel ^^

==

Essais avec le bloc d’alu, en poussant le filament à la main c’était assez dur (pourtant à 230°C) et curieusement le plastique fondu refluait même par l’arrière… Après avoir un peu bataillé, le placement de la sonde s’avérait trop proche de la résistance, vers 280°C ça commençait à ressembler a ce que j’obtenais avant à 160°C, j’avais lu quelque part que la différence entre un fil nichrome et un bloc chauffant était de 20-30°C pour le réglage mais là c’est surprenant.

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Depuis c’est un peu mieux mais je pense essayer de changer l’extrudeur dès que possible; à suivre.

[argh en fait non pour le moment c’est #fail]

Threads into PTFE with no other support will die after ~100 hours of printing (at PLA temperatures).
At ABS temperatures probably sooner…

Hmm ça pourrai expliquer mon problème et pourquoi la plupart des extrudeurs sont assemblés avec un support…

Reprap – the replicating rapid-prototyper, in Robotica

À lire par ici : http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?fromPage=online&aid=7967174&fulltextType=RA&fileId=S026357471000069X

Cet article récemment publié fait le point sur le projet RepRap, depuis son origine et les choix qui ont conduit au premier concept, en passant par les étapes de son évolution et quelques développement à venir (multi-extrusion^^), bien que son avenir soit à présent hors du contrôle de leur auteurs, la communauté s’en étant largement emparée…

J’aime ce projet, ça vous devez vous en douter, mais c’est d’autant plus par son origine et sa philosophie (biomimétisme) ainsi que pour quelques anecdotes de son histoire, bien dans l’esprit open-source, et qu’on retrouve même dans cette publication :

The child machine’s parts were bought by Liav
Koren and Michael Bartosik of Toronto, who paid one case
of Upper Canada Dark Ale for them
(p.188 ou 12/15)

Qui vous rappellera peut-être la licence Beerware 😉

Via

Heated print-bed : on !

Yay ! De retour j’ai pu ajouter le tant attendu support chauffant en alu. C’est simple : on branche, ça chauffe. Manque peut-être juste un interrupteur et une LED témoin.

Détail de la suspension du plateau

Plus qu’a maîtriser Skeinforge et it’ll be awesome comme ils disent !

Test d’impression sur verre nu : ça marche (à condition qu’il soit chaud)
Avec une vitesse de 3000mm/min (nouveau record) et, pour essayer, un infill de 0,8 sur les deux premières et dernières couches, avec par contre 3,0 à l’interieur :

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D’où une pièce ne pesant plus que 55% du poids de l’équivalente en remplissage massif, mais gardant une résistance mécanique bien suffisante :

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L’énorme décalage qu’on voit est dû à la poulie X (ça faisait quelques temps qu’on l’entendait grincer), et en effet elle était en partie fendue.

Comme on voit sur l’image il manquait probablement un peu de matière, mais heureusement j’en avais imprimé d’avance.

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Ci-dessus, une variation du Wade, les nouveaux paramètres et le support chauffant sont vraiment sympa (en plus de la densité l’anti-ooze permet de bien réduire les fils et donc réduit le temps de nettoyage des pièces); du coup on va pouvoir imprimer de grand plateaux sans craindre de déformations, sur une surface max de presque 230x230mm (plus grand sans la plaque de verre et les pinces qui gênaient parfois) 🙂 »

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Autrement depuis le retour du bootcamp j’ai envie de fabriquer une Huxley (addictive manufacturing quant tu nous tient), ou d’essayer de construire une reprap facilement transportable pour emmener partout, car ça aurait pu bien servir pour aider ou lors de manifestations futures (comme le DIY Festival de juin par exemple ^^)

On parlait de reprap en lego (ici ou ), mais pourquoi pas en Kn’ex ?
Résultat de recherche, juste cette image où il semble que certains aient tenté ça :

K’nex reprap frame, by .dh

Maintenant quand je regarde ce support de fond blanc pour photo je vois un cadre d’imprimante, persuadé qu’il y a moyen de faire un truc  😉